Cause soci-léthal
On s'en fou de ton mal
Nous on veut du profit
Peu importe le sort subit
Pas de nom ni de prénom
Mais un beau numéro
Et ce pour seule raison
D'accélérer le bateau
Que faire de l'humain
S' il ne rapporte rien
On pousse à l'insomnie
Pendant qu'on licencie pour l'économie
Règne de monnaies
Peu importe vos plaies
On détruit tout autour de nous
À commencer par vous
Tu dois te nourrir
Alors on va te pourrir
On finira tous par mourir
Mais avant.. toi, tu vas subir
L'hypocrisie est notre matière préférée
N'ose donc jamais te plaindre
Puis notre secrétaire fait l'café
Et ensuite, il y aura le thé,..
Merde!
Il n'y a plus de thé! Elle est où la théière?!
Elle était là hier
Cette putain de théière
Quoi?! On a aussi oublié la cafetière ?
Mais elle est où cette secrétaire?
Cause soci-léthal
On veut te faire mal
Car pour nous le profit
C'est notre chemin de vie! (et l'café aussi..)
Belle société ensoleillée
Parcourut de joyeux enfoirés
Vivant pour une seule raison
Celle de la guerre au pognon
On s'étonne que la dépression
Soit parfois l'unique solution
Mais à quoi bon lorsque les grognons
N'ont qu'une seule motivation
Pognon Pognon Pognon
C'est la pognonvation, l'innovation façon pognon
A quand le Pognonvid à moins qu'il soit déjà dans nos vies ou vides
Questionnement, étonnement ; acceptation ou dépression
Ils nous utilisent comme des outils
En nous comparant à des brebis
Auxquelles ils vont donner le biberon
Sinon ce sera la petite punition
Il y a pourtant plein d'équations
Pouvant améliorer la vie des employés
Mais le profit reste leur seule motion
Et ce en détriment des vies désormais brisées
Triste société de déprimés
Face à toute les obligations
Entraînant l'unique finalité
Celle de la perte de toute vitalité
Et si vous n'êtes pas d'accord avec moi.. Et bien..
Je m'en fou de votre avis
Restez donc dans votre déni
Les tracas, ce n'est plus pour moi
Vous pouvez rester dans l'oubli, bon débarras
Personne n’aurait imaginé
Que tu partirais soudainement
Nos chemins s’étaient séparés
Mais ta bonté demeurait pourtant
Tant de regrets et de silence
Sommeillent désormais en moi
Emprisonnés par cette absence
Que tu laisses derrière toi
Serait-ce un cauchemar éveillé?
Tu étais pourtant jeune et souriante
Pleine d’ambitions, désormais inachevées..
Tant d’injustice pour une personne si aimante..
Ismérie, étoile de nos nuits
Lumière de nos jours
Ange pour toujours
Ta lueur nous éblouit
Lors de ton dernier voyage,
Pendant les premiers discours,
Nécessitant plein de courage,
Le ciel pleurait ton départ avec nous.
A la fin de la dernière cérémonie,
Est alors survenue une éclaircie,
Indiquant le moment de te dire au revoir,
Car ce ne sera pas un adieu.
Tu seras à jamais à nos côtés,
Avec ton bonheur et ton sourire,
Qui resteront dans nos souvenirs,
Ainsi que dans nos cœurs brisés.
Ismérie, étoile de nos nuits
Lumière de nos jours
Ange pour toujours
Plein d’amour aux alentours
L’argent surpasse la compétence
Dans ce monde sans intelligence
Immonde de son ignorance
Triste dégénérescence
Aucun espoir ni chance dans un horizon
Où l'obsolescence règne en silence
Uniquement de vaines espérances
Quant à une réelle union
Souverain du chaos et du néant
Naissant de l’absence de raison
Équipé de son unique notion
Celle de la possession
Privilège assorti de nos créations
Règne d’outils fondés par notre savoir
Hors de contrôle et sans pouvoir
Face à ce bourreau du désespoir
Nos âmes ne seront pas épargnées
De notre environnement déchaîné
Où le suicide est le paradis déguisé
D’un enfer beaucoup trop aiguisé
Souverain de ce gouffre béant
Un infini néant dénué d’absolution
Châtiment mérité par notre inaction
Pourtant parsemé de solutions
Notre seule et unique peur, la mort
Finira par devenir un réconfort
Car nos vies en manque d’âme solaires
Périront, annonçant la fin de notre ère
Nos glas sonneront en chœur
Fêtant la dernière heure de nos cœurs
Ayant apporté tant d’effroi
A notre Terre-Mère, en désarroi
Dans la vie, rien n’est à jamais uni
Désuni, tu vagabondes dans la nuit
Languit de cet union qui te nuit
Rien n’est pour toujours acquis
Utopie de sentiments optimiste
Envers cette compagne idéale
T’assénant pourtant d’un coup létal
Un châtiment destiné à l’irréaliste
Réalité éphémère héritée de nos pères
Sombrant en un si dur cauchemar
Qui prend souvent la forme de nos mères
Te rappelant son dernier départ
Si ton existence est une souffrance
Rappelle-toi de ta si tendre enfance
Ce malheureux début d’une attente
D’un salut comme récompense
Lors de leurs disputes sans amour
Tu patientais dans l’espoir de bisous
Sans remarquer le cercle vicieux
Hérités grâce à tes si petits yeux
Réalité éphémère héritée de nos mères
Sombrant en un si doux cauchemar
Qui prend souvent la forme de nos pères
T’oubliant sans un léger regard
Le bonheur est loin d’être à ta portée
La souffrance est pourtant à son apogée
Que faire dans cet enfer sans air ni terre
Si ce n’est que d’errer dans l’éternel, brisé
L'existence est-elle un rêve éphémère
Parcouru uniquement de souvenirs et de chimères
Sont-ils entourés d'une rivière de ténèbres
Possédant parfois, quelques perles de lumière?
L'abandon, ce ressenti sombre et inquiétant
Cette peur de souffrir constamment, en un instant..
A la moindre sensation, ton cœur nécrosé se meurt
Vaillamment en chœur avec la douleur..
Elle en deviendra du coup, si apaisante..
Au point de désirer cette illusion blessante..
Pourtant si malsaine mais également si sereine
Face à ce monde loin de t'épargner de son règne
Tu ne désirais que d'être heureux, être aimé
Mais tu n'obtiens que du malheur
Est-ce toi le responsable pourtant si brisé
Ou juste la victime d'un diable antérieur
Te souviens-tu de son séjour
Car ton propre doute sur ton parcours
Ne joue pas en ta faveur, en ce jour
Si flou dans cet océan de souffrance, dénué d'amour
Tu débutes alors une quête pour une lame
Salvatrice, pouvant te libérer ton âme
De cette histoire enterrée dans tes pensées
Mais qui impacte encore tes idées
Cette recherche prendra du temps
Car il te faudra explorer ton tourment
Présent dans ton esprit pourtant si vaillant
Tout en restant vigilant aux contretemps
Désirant d'être aimé, être heureux
Tu aimerais pouvoir connaître le bonheur
En cette heure, de tes propres yeux
Courageux, de récupérer leurs ardeurs
En cette nuit, par ma folie
Je cherche à prendre mon envol
Loin de luire, prêt à me nuire
Je vole pour m’écraser au sol
Expirant mon dernier soupir
Mes veines se vident d’haine
Et si ma vie fut si vaine
Alors je ne rate aucun avenir
Délivrance à nos souffrances
Que nos soupirs s’envolent en silence
Je disparais seul et malheureux
D’être délivré de ce monde douteux
C’était le seul chemin de mon destin
La seule solution à ma dépression
Mais cet adieu n’est pas une fin
Juste le début de ma libération
Car mon âme fusionne de joie
Désormais avec cette belle nature
Comprenez donc mon choix
D’avoir terminé mon aventure
Délivrance à nos souffrances
Que nos soupirs s’envolent en silence
Je m’éteins loin de la peur
Infligée par l’humanité sans cœur
Mes chers amis bipolaires
Nous manquons tous d'air
Dans cette société loin d'être unie
Brisant tout rêve de paradis
On est incompris, souvent jugé
Par nos anciens amis, désespéré
De notre véhémence parfois exagérée
Malgré notre bienveillance pourtant surdimensionnée
Sommes-nous si différents?
Avons-nous le droit d'être heureux?
Est-ce que cette tristesse est permanente?
Au point de ne jamais pouvoir être deux..
Mes chers amis bipolaires
Il n'y aura jamais assez d'air
Pour subsister et être uni
Avec les autres au paradis
Cette particularité ronge notre réalité
Si opposée à une quelconque trêve
Et ce, même dans nos rêves
Tout autant accompagné de sombres idées
Perdu, nous voguons vers l'horizon
A la recherche d'une passion
Pouvant nous maintenir loin du précipice
Qui pourrait nous infliger notre dernière cicatrice
Mes chers amis bipolaires
Même si on en a pas tous l'air
Sachez que nous sommes unis
Au pire...On se retrouvera dans notre paradis
Si tu es hanté par ton passé
Qu'il ne cesse de te désirer
Sache qu'il est curieux de l'avenir
Que tu pourrais t'offrir, sans lui
Par jalousie de ton bonheur
Il revient avec sa terreur
Afin de dévorer toute ta joie
Lui ayant provoqué tant d'émois
Pour ne plus être loin de toi..
Tu ne désires que de te libérer
De cet harceleur mal-aimé
Et pourtant il continue
Comme si tu lui étais dû
Un peu comme les cons
Que l'on trouve aux coins de rue
Sifflant comme des pigeons
Par la simple vue d'une jambe nue
Quand on y pense, tout a un sens
Car le petit con et le passé
Sont des idiots un peu fêlés
Ne comprenant pas la présence..d’un sileeeeeeeence!
..Nous sommes ABSENTS!
Chère ténèbres, brisant nos rêves
Tu es grand, puissant, et surtout imprudent..
Face à la naissance d’une légère bribe de lumière
Évoluant lentement mais sûrement
En un instant, elle pourrait te surprendre
Inversant l’équilibre, jaillissante et libre..
De dominer ton obscurité et ton désarroi
Grâce à ses ailes de feu et de joie
Sa lumière est peut-être temporaire
Mais suffisante pour renaître
Tel un phénix doux et tendre
Accompagné de ses ailes de cendre
Chère ténèbres brisant nos rêves
Tu es grand, puissant, et surtout imprudent..
Face à la naissance d’une légère bribe de lumière
Évoluant lentement mais sûrement
Grâce à ta véhémence sans cœur,
Ténèbres, tu es éternel
Mais grâce à son ardeur sans peur,
Lumières, tu resteras sempiternelle
Warning: Undefined array key "sfsi_riaIcon_order" in /home/clients/6a5cbf4a4e09894f525a15e6731fce27/sites/anthonygrenier.be/wp-content/plugins/ultimate-social-media-icons/libs/controllers/sfsi_frontpopUp.php on line 165
Warning: Undefined array key "sfsi_inhaIcon_order" in /home/clients/6a5cbf4a4e09894f525a15e6731fce27/sites/anthonygrenier.be/wp-content/plugins/ultimate-social-media-icons/libs/controllers/sfsi_frontpopUp.php on line 166
Vous appréciez ce site? N'hésitez pas à le partager!