Auteur/autrice : Anthony

Cette peine éphémère
Qui ronge mon être
Est si douloureuse
Et me rend douteux..

Elle ne doit pas me recouvrir
D'échecs et de désarroi
Je ne dois pas faire mourir 
Tout le bonheur en moi..

Aucune influence négative
Ne devraient se trouver sur mes projets
Il faut que je m'active
Si je ne veux pas devenir un boulet..

Puisse mon idéal se réaliser
Malgré mes erreurs passées
J'espère vraiment mériter
De gagner tous mes rêves, si éloignés..

Je prie pour que mon âme 
Sensible comme une larme 
Devienne forte tel une lame 
Et puisse être utiliser en arme.. 

© Anthony Grenier – 13 Janvier 2019

L'épée de Damoclès se trouve au dessus de moi..
Représentant toute la peine en mon être..
Désirant la fin de mon existence, sans émoi..
Ma vie ne serait donc qu’éphémère..

Je suis las de vivre
Dans ce monde si pauvre
En espoir, devenu si rare..

Quand il en naît
Il finit étrangement volé
On est tellement distrait
Qu’il n’est plus d’actualité

Tout le poids et la haine de ce monde
Se retrouve soudainement sur mes épaules lésées
Mon corps ne demandant qu’à exploser
Pour libérer cette tension rempli de douleurs vagabondes

Ma positivité est temporaire
Ma négativité est persistante
Et jusque dans mes rêves,
Suicide, tu es si envoûtante

Puisses-tu libérer mon âme
De ce châtiment impitoyable
Qu’est le monde dans lequel je me bat
Vainement..

© Anthony Grenier – 27 Décembre 2018

Le but de nos jours est de travailler
Sans pour autant penser à nos volontés
On se blesse au point de déprimer
Tout ce travail pour au final se suicider..

Et les seuls qui en profitent sont les nuisibles
Se trouvant au sommet de nous sans empathie
Récoltant le fruit de nos boulots même si c’est inadmissible
Derrière notre dos, vu qu’ils sont uniquement apathique 

J’aimerai juste vous dire d’aller vous faire voir
Il est vrai que nous devons tous nous plier
Et s’épuiser pour éviter de tomber dans le désarroi
Mais la roue tourne et brisera vos piliers de sûretés!

Enfoirés, nous vous aurons et briserons vos lois ayant été imposées
Peu importe ce que nous serons, un jour arrivera et nous reviendront
Pour prendre à nouveau les rênes de nos vies
De vous, personnes néfastes et abruties

Et lorsque je vois les humains à la rue, abandonnés..
Cela me rappelle quand j’y étais, sans aucune aides..
Vous en avez qu’à faire des gens désespérés..
Aucun profits en vue donc aucune entraides!

Ce monde dégoûtant me donne envie de me tirer une balle
Mais malheureusement, mes proches me pleureraient..
Cela me frustre d’autant plus de devoir vivre avec tout ce mal
M’entourant, continuant sans répits et aucune trêves..

En plus, le monde entier est lui même en deuil
A cause de la pollution détruisant notre chère planète
Toute cette négativité entraîne finalement le seuil..
De non retour, similaire à la puissance d’une comète..

© Anthony Grenier – 29 Novembre 2018

Je suis coincé dans un gouffre de tourment
Si différent, je n’en sors que très rarement
C’est juste mon destin, et j’en ferai mon festin
De toutes les personnes ne comprenant rien!

Avancer, échouer, tel est la vie
Les erreurs, ardeurs..Tel sont les émotions
Des accomplissements, ajustements..Tel est l’évolution
Excepté pour moi, avec ma maladie digne d’une acrobatie..

La présence de mes idées noires, aiguisées comme un rasoir
Me condamnent à souffrir, en absorbant mes solutions..
Je ne peux que tomber, même si je fais pourtant attention..
Dur de ne pas mourir, face à l’obscurité et ses aberrations

J’essaye d’éviter qu’elles obtiennent le dessus
Parfois, j’arrive à esquiver leurs attaques grâce à mon vécu
Mais ma faiblesse est ma culpabilité loin d’être une facilité
Cela me ronge et empêche quelconque songes..

Les idées sombres plus rapides que mon ombre
Sont un vrai fardeau, voir même un fléau..
Je préfère donc rester dans ma crypte loin des réussites
Dont je rêve, pour obtenir une rédemption voir une amélioration

Pouvant sceller mon désespoir et faire naître l’espoir..

© Anthony Grenier – 28 Novembre 2018

Comme en ce jour d'automne
Je me sens comme une feuille morte

Que je sois une coquille vide à l'intérieur
Mais avec une carapace impénétrable de l'extérieur

Mais à quoi bon me protéger du néant
À croire que ce n'est que mon instinct de survivant

Je pense que c'est déjà bien d'avoir cela
Car je peux m'éviter de tomber dans le désarroi

Mais comme un phénix, je peux renaître de mes cendres
Cendres de la feuille morte brûlée que j'étais
J'en sortirai sûrement plus tendre
Avec les mauvaises choses censées être là à jamais

Maintenant je vacille de nuage à nuage
La tête rêveuse à m'imaginer des gages
Ou plutôt devrais-je dire des défis
Pour ne pas retomber dans les méandres du désespoir
Et rester dans le paradis de l'espoir garanti 

Mais comme un phénix, je peux renaître de mes cendres
Cendres de la feuille morte brûlée que j'étais
J'en ressortirais sûrement plus tendre
Avec les mauvaises choses censées être là à jamais

Je confirme que les cieux sont plus plaisants 
Que cet enfer intérieur me délaissant
De toute bonne choses m'entourant. 

Ce mauvais est enfin chassé de mon esprit 
Il est temps de devenir un apprenti repenti ! 

Tel un phénix je renais enfin 
En tant que nouvel homme, guéri de mon chagrin 
J'en suis devenu plus tendre,
Annihilant les habitudes mélancoliques 
Avec comme nouvelles armes, ces bonnes choses éternelles que j'ai décidé de reprendre
de cette spirale mélancolique

© Anthony Grenier – 27 Novembre 2018

Souvent les gens se trouvant supérieurs sont en faite inférieurs
Ne réfléchissant qu'à se prendre de haut pour quelques mots
Car leurs vies n'ont plus que ça d'bon: l'autorité et la malhonnêteté 
Il a fait des études donc il se permet de se mettre sur un piédestal
Pensant que ce qu'il fait est phénoménal 
Mais ce n'est que sa seule manière pour lui de donner un sens a sa naissance
Sans intelligence il se lance dans des débats sans silence
De sa part bien sur, il n'assumera jamais être contre l'art
De toute nouvelle vie florissante qui pourrait lui faire se souvenir et regretter..
Son amer passé où il a échoué sur une rive de sentiments rempli de faux-semblants
Marquant à nouveau sa triste vie de chien menaçant
 
Mais ce n'est pas une raison de propager son mal sur un être avec morale
Nous ciblant avec dextérité en nous projetant leurs vécus erroné
Nous poussant à bout jusqu'à n'en plus pouvoir tenir debout 
Le pire c'est ceux qui le font sans remord
Sans penser à ceux qui pourraient en devenir morts...
A l'intérieur d'eux sans plan ni dieu pour les guider dans cette voie presque digne d'un dégénérer sans passion ni dérision 
Et de les faire devenir des copies d'eux, êtres blasé regrettant leurs événements tourmentant mal gérer
Mais petit mouton de la société, tu n'es qu'un con dénué de sobriété
Suivant les règles en se pliant comme un nègre
Je précise que je ne suis pas raciste, juste réaliste
Comme eux auparavant, ceux qui ont besoin d'aide sont souvent sans entraide, 
Comme ces humains avec la peau noir qui se faisait tourmenté par le noir
Enfuis dans les coeurs d'hommes ne connaissant pas le mot espoir
Mais que le mot désespoir..
Toujours à se plier pour faire plaisir à la société
Moi j'en peux plus de suivre la facilité
J'ai toujours eu une âme attiré par la difficulté, c'est comme si mes larmes étaient mes armes
Je parle aux noms de tous ces gens 
pensant que leurs vies n'ont plus d'sens
Trop longtemps subissant la projection des adultes tel une prison
Ne perdez pas espoir, écoutez ce texte quand rien ne va, et si il vous touche, c'est que mon but de vous émouvoir a été aussi soulageant que de prendre une douche
Nous lavant de toutes ces pensées projetées par des proto-dégénéré

© Anthony Grenier – 27 Novembre 2018

Si je pouvais te trouver la paix
Je te la donnerai et la créerai
Juste pour toi belle colombe
Qui est la seule possédant une magnifique ombre
 
Le peu se trouvant en mon intérieur
Je te la donnerai sans rancœur
Malgré que je ne suis rien
Je ne voudrai que ton bien
 
J’aimerai t’offrir ce bonheur éternel
Et je prendrai tout ton malheur en te confiant mes ailes
Ces plumes de bonheur parcourant mon cœur
Chantant en chœur pour mon âme sœur
 
Je t’appartiens, peu importe qui te détient
Corps et âme je suis tien et ce, jusqu'à mes larmes
Que je verse pour toi, pouvant devenir tes armes
Même si ce n’est que moi contre ce monde triste et défaitiste
 
Malheureusement rien n’est comme avant
Mais il est grand temps de faire un changement
Et d’enfin exaucer nos attentes
Tant qu’elles sont encore accueillantes
 
Suit moi jusqu'à la fin de la nuit
Fais moi confiance, je ne pourrai te nuire
Je ne qualifierai même pas mes mots comme une avance
Mais plutôt comme une délivrance de toutes nos souffrances
 
Nous sommes forts et à la foi fragiles comme cet hêtre, si différents de tous les êtres
C’est pourquoi uniquement nos regards pourraient changer notre désarroi en de mutuels égards
Pouvant nous éloigner de toute cette ébriété et enfin récupérer notre sobriété
Finalement avec le but de rayonner comme tous les beaux jours d’été
 
Soyons étincelant comme tout l’environnement
Qui nous entoure depuis notre enfance sans égarement
Rendons-lui hommage sans broncher ni fléchir
Avec nos sentiments qui je l’espère, n’évolueront jamais en tourments

© Anthony Grenier – 27 Novembre 2018

Languis de ton absence,
J'en perd tout mes sens
Ma vue s'obscurcit 
Mon corps se raidit

Je sais, ce sont mes erreurs
Qui m'ont rendu, dans mes pleurs
Abattu, tu m'as fuis
Et je t'ai suivi..

Dans mes rêves
Une seule possibilité de trêve
En ce sombre jour d’été clair
C’est une paire d’oxymore
Aussi contradictoire que nos corps

Mes émotions sombrent
Revient vers moi, mon ombre
Tout tes désirs, seront les miens
Si tu acceptes que je sois ton quotidien..

© Anthony Grenier – 27 Novembre 2018